Vidéos

régate TAVL Trébeurden

Bonjour à tous !
Vous ne l’attendiez pas, mais la voici ! La toute dernière vidéo !
Dimanche 6 novembre, nous régations à Trébeurden. Et comme une vidéo vaut mieux que de longs discours (comment ça c’est pas ça l’expression ?), voici le lien de ladite vidéo :

Et maintenant que vous l’avez vue et que vous regrettez de pas être venus, je vous propose une autre régate 😉
Dimanche 20 novembre en bas de chez vous : au club de Saint Lunaire
Les horaires sont, comme d’habitude :
de 9h à 11h : les inscriptions (5€/personne, licence, certificat médical)
11h30 : mise à dispo
goûter et remise des prix avant la nuit

Si cette mise en bouche vous a donné envie de venir, faites nous en part ! Comme ça, vous serez informés en cas de changement de programme et nous pourrons commencer à estimer qui vient pour que cet évènement soit organisé au mieux pour ses participants.

Bonne fin de semaine à tous !

L’équipe Emeraude Initiative Dériveurs

Entraînement skiff du 13 mars 2016 à St Suliac

Ce dimanche, nous étions bien décidés à nous entraîner pour la Breizhskiff du lac du Der qui s’approche à grands pas.
Au rendez-vous, Corentin et son tout nouveau RS600, Henri et moi en 29erXX après une pause de bien trop longtemps.
Bref, des bateaux qu’on ne maîtrisait pas totalement.
Et pour bien nous tester, le vent s’est levé, fort et instable comme il sait si bien le faire en Rance.
Cela ne nous a pas empêché de sortir, de faire un bon entraînement bien intense pour ne pas se refroidir et de rentrer reclus de courbatures.

Première sortie en Boss 

Par un dimanche ensoleillé j’étais encore loin de me douter que j’allais naviguer sur un tel engin. Le temps que mes chers acolytes préparent la bête, je m’échauffe à bord du byte que m’a confié ma sœur. Le vent étant très faible, le temps était en effet plus propice à des opérations dessalage que faire de la grande vitesse… Ce n’est qu’assise tranquillement sur la dérive du byte que j’ai aperçu la machine de guerre. Je les regarde avec admiration bien que leur passage fut très rapide à côté de moi. Ma sœur m’appelle pour monter sur le boss. Je suis émerveillée et je bondis de joie (et remonte le bateau). Après avoir raté une première approche, Henri à la barre finit par accoster à mon bateau. C’est en trébuchant à l’arrivée dans le bateau que j’ai compris que ça n’allait pas être du gâteau. J’ai mis du temps à comprendre comment fonctionnait le trapèze mais avec un bon prof, je réussis à sortir au trapèze. La sensation est finalement bien au rendez-vous et la vitesse aussi ! Vient la sortie (laborieuse) du spi qui nous fait aller encore plus vite! On sème tous les bateaux de la baie. J’ai même eu l’occasion de prendre la barre, ce qui m’a valu de finir à l’eau sous les ricanements d’un prof peu soucieux de ma dignité. On repart sous spi et je reprends la barre sans encombre cette fois-ci. Le paysage du soleil couchant tout en étant au trapèze était plutôt très agréable! Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et la nuit tombe; nous devons rentrer. C’est remplis de bons souvenirs ( et de futures courbatures) que nous repartirons.

A l’assaut de Cézembre

C’est avec un beau soleil d’été que 4 dériveurs s’élancèrent, au départ de St Lunaire ou Dinard, vers cette belle île mystérieuse. Plus que l’objectif, c’est surtout la navigation que nous retiendrons avec un temps superbe, un vent léger et une bonne ambiance. Bref, vive les vacances !

Récit de la navigation du dimanche 31 mai 2015

L’envoi tardif du mail d’invitation et les conditions météorologiques mitigées ont sérieusement réduit les effectifs présents sur le parking. Réduits certes, mais pas anéantis. Trois personnes sont venues avec la ferme intention d’en découdre avec les éléments.
Les trois irréductibles ont embarqué à bord de deux dériveurs, un double (Laser 3000) et un solitaire (Laser E.P.S) pour une navigation sportive d’environ 2H45. Au menu, rappel et trapèze maximum, bords de près rebondissant dans le clapot de la Rance, séquences de planning enragé, envois de spi endiablés, arrosage iodé aussitôt rincé d’eau douce et dessalages sur sortie de route sauvage…tout un programme. Le vent d’Ouest/ Nord-Ouest bien en vigueur (force 5 rafales à 6) a également montré un caractère joueur avec des bascules conséquentes au passage des pointes.
Les dériveurs ont partagé le plan d’eau avec quelques catamarans et véliplanchistes qui ont eux aussi assuré le spectacle.
Malgré les conditions toniques, les protagonistes ont pris beaucoup de plaisir à bord de leurs furieuses machines. Sortis de l’eau, le film de la journée a défilé au gré du récit de chacun, les discussions nourries accompagnant le rangement des bateaux. Puis, la conversation s’est poursuivie autour d’un verre à la ferme du Boucanier généreusement offert par deux sympathiques propriétaires d’un 420 venus nous aider aux manutentions d’arrivée (grand merci à eux) .
Les participants ravis de leur journée sont prêts à recommencer le plus vite possible.