Nouveauté 2016 à dériveur services, les chariots de mise à l’eau grosse roue, existe en cadre en alu démontable (gain de poids, et de place), cadre acier galvanisé (robustesse).
Les grosses roues vous aideront à manipuler votre dériveur sur la plage (bateau lourd, sable fin….)
Les grosses roues peuvent être vendues seules, renseignez-vous sur la compatibilité de votre chariot, nous pouvons faire l’adaptation.
Par un dimanche ensoleillé j’étais encore loin de me douter que j’allais naviguer sur un tel engin. Le temps que mes chers acolytes préparent la bête, je m’échauffe à bord du byte que m’a confié ma sœur. Le vent étant très faible, le temps était en effet plus propice à des opérations dessalage que faire de la grande vitesse… Ce n’est qu’assise tranquillement sur la dérive du byte que j’ai aperçu la machine de guerre. Je les regarde avec admiration bien que leur passage fut très rapide à côté de moi. Ma sœur m’appelle pour monter sur le boss. Je suis émerveillée et je bondis de joie (et remonte le bateau). Après avoir raté une première approche, Henri à la barre finit par accoster à mon bateau. C’est en trébuchant à l’arrivée dans le bateau que j’ai compris que ça n’allait pas être du gâteau. J’ai mis du temps à comprendre comment fonctionnait le trapèze mais avec un bon prof, je réussis à sortir au trapèze. La sensation est finalement bien au rendez-vous et la vitesse aussi ! Vient la sortie (laborieuse) du spi qui nous fait aller encore plus vite! On sème tous les bateaux de la baie. J’ai même eu l’occasion de prendre la barre, ce qui m’a valu de finir à l’eau sous les ricanements d’un prof peu soucieux de ma dignité. On repart sous spi et je reprends la barre sans encombre cette fois-ci. Le paysage du soleil couchant tout en étant au trapèze était plutôt très agréable! Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et la nuit tombe; nous devons rentrer. C’est remplis de bons souvenirs ( et de futures courbatures) que nous repartirons.
Ce jour, ce n’est pas un ni deux mais bien quatre skiffs qui se sont entrainés sur la Rance, face à St Suliac. Au rendez-vous, deux Laser 4000 et deux 29er qui se sont entraînés, en temps réel donc. Mais comme quoi, face aux rating, le niveau prend largement le dessus.
A quand la prochaine session ?
Un détachement d’Emeraude Initiative Dériveur est venu participer à la régate Breizhskiff à Granville les 5 et 6 septembre 2015.
Sous un beau soleil, un vent irrégulier et des vagues, de magnifiques dériveurs ont évolués sur le plan d’eau de Granville tout le week-end.
Pour la première régate skiff d’Anne, le temps fut parfait et la bonne ambiance comme toujours au rendez-vous !
C’est avec un beau soleil d’été que 4 dériveurs s’élancèrent, au départ de St Lunaire ou Dinard, vers cette belle île mystérieuse. Plus que l’objectif, c’est surtout la navigation que nous retiendrons avec un temps superbe, un vent léger et une bonne ambiance. Bref, vive les vacances !
L’envoi tardif du mail d’invitation et les conditions météorologiques mitigées ont sérieusement réduit les effectifs présents sur le parking. Réduits certes, mais pas anéantis. Trois personnes sont venues avec la ferme intention d’en découdre avec les éléments.
Les trois irréductibles ont embarqué à bord de deux dériveurs, un double (Laser 3000) et un solitaire (Laser E.P.S) pour une navigation sportive d’environ 2H45. Au menu, rappel et trapèze maximum, bords de près rebondissant dans le clapot de la Rance, séquences de planning enragé, envois de spi endiablés, arrosage iodé aussitôt rincé d’eau douce et dessalages sur sortie de route sauvage…tout un programme. Le vent d’Ouest/ Nord-Ouest bien en vigueur (force 5 rafales à 6) a également montré un caractère joueur avec des bascules conséquentes au passage des pointes.
Les dériveurs ont partagé le plan d’eau avec quelques catamarans et véliplanchistes qui ont eux aussi assuré le spectacle.
Malgré les conditions toniques, les protagonistes ont pris beaucoup de plaisir à bord de leurs furieuses machines. Sortis de l’eau, le film de la journée a défilé au gré du récit de chacun, les discussions nourries accompagnant le rangement des bateaux. Puis, la conversation s’est poursuivie autour d’un verre à la ferme du Boucanier généreusement offert par deux sympathiques propriétaires d’un 420 venus nous aider aux manutentions d’arrivée (grand merci à eux) .
Les participants ravis de leur journée sont prêts à recommencer le plus vite possible.
Une météo exceptionnelle a permis de rassembler 10 participants et 6 dériveurs sur le plan d’eau de St Suliac. Nous comptons parmi le groupe d’Emeraude Initiative Dériveurs : ISO, byte CII, un RS200, Solo, 470 et Laser 3000. Une belle diversité de dériveurs !
Ce fut une navigation magnifique, tant par les conditions météorologiques que le plan d’eau ou la bonne ambiance qui régnait.
Navigation d’Emeraude Initiative Dériveurs à 5 dériveurs (byte, byte CII, solo et Laser EPS). Puis entraînement pour 4 d’entre eux, sur un petit parcours improvisé autour de quelques bouées. Nous avons enchaîné les manoeuvres dans un bon vent sur la Rance.